Jusqu’à présent, nous sommes partis par le concept du voleur à l’étalage “typique”: entre 12 et 25 ans, mâle, exerçant aucune profession et/ou assisté. Ce cliché semble obsolète.
Dans les années passées, un trend s’est explicitement caractérisé, notamment la délinquance des personnes âgées.
Entre 2002 et 2012 le pourcentage des seniors criminels est augmenté du 8%, tendance à la hausse. Ça nous dit que l’augmentation est proportionnelle à l’accroissement démographique du groupe d’âge de 49 à 60 ans.
Il est encore ainsi, qu’entre les personnes âgées, les hommes commettent plus des délits que les femmes. Mais, curieusement, le rapport entre les sexes est plus équilibré avec 60:40 qu’entre les jeunes, où il est de 80:20. C’est à noter que les délits comme les fraudes aux stations-services (vol d’essence), déprédation, vol à l’étalage, vols en général ou fraudes sociales dérogent à cette règle. Dans ces cas, tous les deux les sexes sont représentés aussi fort, les femmes mêmes légèrment plus. Le fait est que, vu en chiffres absolues, les personnes âgées commettent plus des vols qu’il y a quelques ans.
Ça nous met (comme aussi la police) devant le fait accompli imprévu: comme est-ce qu’on traite les seniors? Cet homme, cette femme, sont-ils crédibles? Est-ce que le comportement de cette personne indique à une démence commençante ou Alzheimer ou similaire? Déroulons-nous le processus habituel, c’est-à-dire appeler la police, déposer la plainte, interdire l’accès etc.? Ou, peut-être nous nous laissons influencer par l’âge avancé?
Est-ce que vous avez fait des expériences similaires? Si oui, comme avez-vous réagit? Nous sommes curieux de savoir lesquelles sont vos impressions. Pour laisser un commentaire, écrivez sous “leave a Reply”.